Comment as-tu vécu la genèse du projet et cette méthode « d’écriture vivante » avec Eric Jean, les interprètes et les concepteur·rice·s ?

À travers toutes ces inspirations, quel a été le principal moteur d’écriture pour toi ?

Comment cette création s’inscrit-elle dans ta démarche globale de créatrice ?

 

Marie-Christine Lê-Huu : En général, j’écris aussi beaucoup à l’aide d’images, de clés ou de codes scéniques. J’ai besoin de ça pour rester dans l’idée de la théâtralité, pour projeter la scène. Par contre, les quelques fois où j’ai mis mes propres textes en scène, ces images scéniques étaient à jeter une fois dans l’espace, sur le plateau avec les interprètes. Elles ne m’ont été utiles que pour l’écriture. Ici, c’est intéressant et différent, car ce sont des images extérieures, imposées par d’autres, qui perdurent au fil de la création.