
Avec
David Bélizaire,
Jean Belzil-Gascon,
Maude Bouchard,
Andréanne Daigle,
Sarah-Maude Laliberté et
Maxime Lepage
Résumé
Jeune diplômée en ballet, Prunelle surnage comme elle peut, entre ses séances d’entraînement maison et son nouvel emploi au Dairy Queen, rue Ste-Catherine. Troquant malgré elle la musique classique pour le punk, et les souris de Casse-Noisette pour de la vermine, elle redécouvre Hochelaga-Maisonneuve d’un autre œil, à l’aide de Javel, un exterminateur des plus dégourdis. Et il y a cette pensée, obsédante : les étoiles ont-elles un chemin tracé d’avance ?
Adaptation du roman de Jolène Ruest publié chez XYZ, par son autrice elle-même et son complice Jonathan Caron, cette création à l’humour sagace rend hommage à la résilience des nouvelles générations et à la solidarité insubmersible des quartiers populaires, épousant le tempo de la danse et du mouvement humain, à la fois cru et gracieux.
IMPORTANT :
Utilisation d’effets stroboscopiques durant la pièce.
CRÉDIT VIDÉO © David Paradis
Biographies
Équipe
Scénographie
Karine Galarneau
Conception sonore et musicale
Simon Leoza
Lumières
Nancy Bussières
Conseil dramaturgique
Nicolas Gendron
Conception des costumes
Fany McCrae
Conseil en danse classique
Lisa-Marie Villeneuve
Conseil en mouvement
Andréanne Joubert
Direction de production
Olivier Courtois
Directeur Technique
Pierre Tripard
Coach privé danse classique
Madeleine Bellefeuille
Dans les médias
La mise en scène et l’interprétation énergiques […] assurent un rythme soutenu à cette représentation sans temps mort.
Critique de Mario Cloutier, JEU
La mise en scène est hyper intéressante. Si les gens qui aiment la danse vont voir ça, ils vont être servis. C’est vraiment vivifiant.
Critique de Catherine Genest, ICI Première (Culture Club)
C’est un hommage aux angoisses adulescentes, mais aussi à Hochelaga-Maisonneuve, à la solidarité entre les quartiers de Montréal. […] C’est une pièce avec de belles réflexions, assez drôle aussi !
Critique de Eugénie Lépine-Blondeau, ICI Première (Tout un matin)
Entre la peur de réussir et la volonté de bien faire, avancer dans la vie se fait parfois sur un fil. Les comédiens et comédiennes ont tous avec succès su montrer cet univers bivalent.
Critique de Camille Dehaene, Sors-tu
Les danseurs étoiles parasitent ton ciel célèbre l’humain dans toute sa résilience et la force de la communauté, véritable village au cœur de grandes villes. Aux côtés de Prunelle, […] la pièce ouvre une fenêtre sur la réalité de bien des jeunes, anxieux de faire leur place dans la société sans sacrifier pour autant leurs ambitions.
Critique de de Daphnée Bathalon, Théâtre Québec FB
Alors que dans le théâtre classique ce sont les ambitions des personnages qui font évoluer le récit, ici, le récit s’écrit par la peur de ne pas avoir le courage de ses ambitions. Très réussi.
Critique de David Atman, Daily Rock Québec
Par leur jeu dynamique et contagieux, [les personnages] sont à l’image de ce quartier bigarré et effervescent où on retrouve une humanité, peu importe la réussite personnelle ou professionnelle. Mais en fait, c’est quoi réussir sa vie ?
Critique de Micheline Rouette, BPartsmédia
[Les] chorégraphies effectuées tantôt sur des airs de piano, tantôt dans un silence assourdissant, baignent le public dans une bulle de douceur et de poésie.
Critique de Malika Alaoui, Le Culte
La notion de perfectionnisme, pis d’hyperperformance, on baigne là-dedans. Ça touche tous les niveaux.
Entrevue de Jolène Ruest par Catherine Lalonde, Le Devoir
On rit dans la pièce mais c’est aussi porteur d’espoir.
Entrevue de Jolène Ruest et Jonathan Caron par Winston McQuade