Julie Basse

Conceptrice d'éclairages

Julie Basse
Maxime Côté

Biographie

Depuis sa sortie de l’École Nationale de Théâtre du Canada, Julie Basse a conçu les éclairages de plusieurs productions théâtrales dont La liste de mes envies (2016) mis en scène par Marie-Thérèse Fortin au Théâtre du Rideau Vert, Dimanche Napalm (2016), écrit et mis en scène par Sébastien David au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui, Immigrant de l’intérieur (2015) de DynamO Théâtre, #PigeonsAffamés (2015) d’Anne-Marie White (Théâtre du Trillium, Ottawa), Siri de Maxime Carbonneau et Laurence Dauphinais (FTA 2016), La Singularité est proche, de Jean-Philippe Baril Guérard à Espace Libre (2017).

Fidèle collaboratrice de la compagnie Création dans la Chambre elle réalise les lumières de Koalas, Un animal (mort), Orphée Karaoké, et Petit guide pour disparaître doucement de Félix-Antoine Boutin.

Elle a également signé la conception des éclairages des opéras Hänsel et Gretel, mise en scène d’Hugo Bélanger – Opéra de Montréal (2014), Roméo et Juliette, La Traviata et Don Giovanni tournée canadienne des Jeunesses Musicales du Canada 2015, 2016, 2017 et Léonore ou l’amour conjugal (2017), production de l’Opera Lafayette de Washington mis en scène par Oriol Tomas.

En musique, elle collabore avec Alex Nevsky, Jason Bajada, Caroline Savoie, Lisa Leblanc et Jean-François Malo.

Avec le collectif de danse Dans son salon, elle crée Le troisième été d’amour (2016), Et si tu n’existais pas (2015), Parce qu’on sait jamais (2013) et la compagnie La Marche du Crabe sur De doigts et de pieds (2014), et Le Mobile (2016).

En théâtre improvisé, elle est éclairagiste, depuis 2012, pour la Ligue d’Improvisation Montréalaise (LIM), Cinplass et Créations Instables – Frédéric Barbusci.

De 2013 à 2016, elle assiste les concepteurs d’éclairages André Rioux à la Licorne, Martin Sirois, Étienne Boucher et Martin Labrecque au TNM ainsi qu’Éric Champoux, Jax Messenger, Guy Simard et Anne-Catherine Simard-Deraspe à l’Opéra de Montréal.