Assoiffés

Texte Wajdi Mouawad

Mise en scène et collaboration au texte Benoît Vermeulen

Production Théâtre Le Clou

Assoiffés

Avec Rachel Graton, Francis La Haye et Philippe Thibault-Denis

Assistance à la mise en scène / Catherine Vidal et Nicolas Fortin
Scénographie et costumes / Raymond Marius Boucher
Lumières / Mathieu Marcil
Conception sonore / Nicolas Basque
Environnement sonore / Martin Lemieux

Résumé

Trouver un sens à l’existence est une quête d’absolu. Boon, un anthropologue judiciaire, témoigne d’une  découverte qui bouscule sa réalité : au fond de l’eau,on a retrouvé deux corps enlacés depuis si longtemps qu’ils se sont mêlés l’un à l’autre. À travers l’histoire de Murdoch, adolescent volubile et mystérieusement disparu il y a quinze ans, et à travers celle de Norvège, jeune femme transparente et vulnérable, Boon revoit sa propre adolescence et laisse rejaillir le spectre d’un rêve délaissé.

Assoiffés, c’est le mystère de nos désirs, les plus sensés comme les plus fous, les plus flamboyants comme les plus sombres, ceux abandonnés et ceux qui permettent de se lever chaque matin. Wajdi Mouawad livre ici une œuvre littéraire onirique et vibrante. Benoît Vermeulen met en scène l’ardeur de vivre et fait disparaître la ligne entre réalité et fiction. De 2006 à 2012, Assoiffés a été jouée près de 250 fois au Canada, en France, en Belgique, en Suisse, en Espagne, au Danemark et en Italie.

Le Théâtre Le Clou propose des créations qui oscillent entre exigence et plaisir, provocation et engagement, beauté et chaos. Parmi les plus marquantes : Le chant du koï, Appels entrants illimités, Éclats et autres libertés, Isberg, Romances et karaoké, L’héritage de Darwin et Les Zurbains.

Biographies

Wajdi Mouawad

Auteur

Wajdi Mouawad

Benoît Vermeulen

Metteur en scène

Benoît Vermeulen

Rachel Graton

Norvège

Rachel Graton

Francis La Haye

Boon

Francis La Haye

Philippe Thibault-Denis

Murdoch

Philippe Thibault-Denis

Dans les médias

Assoiffés est l’une de ces productions essentielles dont on ne sort pas indemne.

Michel Bélair, Le Devoir