Avec
Simon Beaulé-Bulman
Éric Bernier
Isabeau Blanche
Sofia Blondin
Catherine Chabot
Vincent Côté
Maxime Genois
Gabriel Lemire
Anglesh Major
Olivia Palacci
Résumé
Fabrizio, bourgeois naïf et ridicule, ruiné par sa passion pour la peinture, vit avec ses deux nièces, Flamminia, jeune veuve non éplorée, et Eugenia, fiancée à Fulgenzio. Ces deux jeunes amoureux, que pourtant rien ne sépare, multiplient les éclats, font valser ruptures et réconciliations. Famille, amis, tous y vont de leurs conseils ou de leur analyse, mais se retrouvent toujours spectateurs impuissants face à leurs différends de plus en plus dramatiques. Seul le serviteur de la maison, Succianespole, ne leur prête aucune attention. Mais a-t-il seulement le temps de s’en préoccuper ? Fabrizio, mégalomane, l’oblige à préparer un banquet en l’honneur de son nouvel ami, le ténébreux comte Roberto. Qui lui a un oeil sur Eugenia. Rien, non rien pour apaiser la relation des jeunes fiancés.
Soupçons, jalousie, précarité financière sont les armes de cette comédie où le ridicule ne dissout jamais la plombée des vrais sentiments.
Catherine Vidal (Le grand cahier, Le miel est plus doux que le sang, L’idiot) dissèque, sous la traduction précise de Huguette Hatem, ces Amoureux du périlleux Carlo Goldoni (1707-1793), dans une maison où l’on savoure en secret les disputes.
Capsule en partenariat avec Tel-jeunes
Biographies
Carlo Goldoni
Auteur
Catherine Vidal
Mise en scène
Simon Beaulé-Bulman
Tognino
Éric Bernier
Fabrizio
Isabeau Blanche
Clorinda
Sofia Blondin
Flamminia
Catherine Chabot
Eugenia
Vincent Côté
Succianespole
Maxime Genois
Fulgenzio
Gabriel Lemire
Roberto
Anglesh Major
Ridolfo
Olivia Palacci
Lisette
Équipe
Assistance à la mise en scène et régie
Alexandra Sutto
Dramaturge
Marie-Ève Lussier
Scénographie
Geneviève Lizotte
Costumes
Elen Ewing
Éclairages
Alexandre Pilon-Guay
Conception sonore
Francis Rossignol
Coiffures et maquillages
Justine Denoncourt
Accessoires
Étienne René-Contant
Assistante aux costumes
Robin Brazill
Dans les médias
La preuve est désormais faite que la metteure en scène peut nourrir de sa lumière particulière une comédie classique : sa lecture des Amoureux, de Carlo Goldoni, est un vrai délice comique et un puissant remède contre la grisaille de novembre.
STÉPHANIE MORIN, LA PRESSE+
Les Amoureux met en scène, avec humour irrésistible, les plus délirants débordements du cœur
CHRISTIAN SAINT-PIERRE, LE DEVOIR
[...] la lecture à la fois éclatante et dérangeante que Catherine Vidal fait de cette histoire de deux jeunes gens qui s’adorent et se déchirent, les costumes à la fantaisie débridée, les teintes plus rouge sang que rose bonbon, le motif omniprésent du cœur, le rock sur fond de clavecin, tout cela crée un objet divertissant, mais signifiant et même inquiétant.
MARIE-CHRISTIANE HELLOT, JEU, REVUE DE THÉÂTRE.
De la comédie de très haut niveau. Voilà ce que nous offre Catherine Vidal [...] Le spectacle endiablé et les interprètes survoltés font sourire et rire pendant 100 minutes bien comptées.[...] Le spectacle rallie l’ancien et le moderne, les travers et les tendresses du couple, le superficiel et le plus profond.
MARIO CLOUTIER, EN TOUTES LETTRES
Avec ces Amoureux, l’incursion de Catherine Vidal dans le genre comique laisse présager d’autres aventures alléchantes.
OLIVIER DUMAS, MONTHÉÂTRE.QC.CA
Il faut voir Les amoureux de Goldoni, ne serait-ce que pour apprécier l’extrême vitalité des jeunes créateurs québécois et la confiance exemplaire qu’ils ont en leurs moyens. En cela, Catherine Vidal est au théâtre ce que Sophie Deraspe est au cinéma.
GUY FOURNIER, LE JOURNAL DE MONTRÉAL
La pièce, présentée jusqu’au 30 novembre 2019, est indubitablement à voir : soyez assurés que vous en ressortirez attendris.
JULIE NGUYEN, LE CULTE
Enfin une mise en scène rafraîchissante ! Si Catherine Vidal préfère les oeuvres denses aux comédies, elle s'en tire pourtant haut la main avec cette adaptation de la pièce Les amoureux (ou Les amants) du dramaturge italien Carlo Goldoni.
ÉDITH MALO, BIBLE URBAINE
Quant à la distribution, elle est absolument charmante de jeunesse, de talent et de candeur.
MARIE-PASCALE DANIS, MAZROU
On reconnaît la vivacité et la virtuosité de l’intrigue typiques de Goldoni, cette légèreté qui le caractérise mais qui cache une profondeur à découvrir.
MARIE-CLAIRE GIRARD, THÉÂTRE CAMBRESIS
Les amoureux est à l’affiche du Théâtre Denise-Pelletier jusqu’au 4 décembre. Du divertissement comme on en voudrait à la tonne. Faites vous plaisir et tombez sous le charme de ces deux amants fous et passionnés!
TAN BÉLANGER, ARP MÉDIA
C’est fou, quand même ! Cette pièce a été écrite il y a 260 ans. Au final, elle met en exergue l’espèce de tragique impossibilité de vraiment rencontrer l’autre. De vraiment connaître ce que l’autre pense. Alors qu’on voudrait donc savoir, pour se rassurer… » - Catherine Vidal
MARIE LABRECQUE, LE DEVOIR
Espace Prof
Que ce soit pour la sortie d’un groupe d’élèves ou la sortie d’un niveau complet, le Théâtre peut recevoir jusqu’à 800 spectateurs par représentation, sauf dans de rares exceptions.