Avec
Maxime Genois,
Renaud Lacelle-Bourdon,
Debbie Lynch-White
et Alice Moreault
► RENCONTRE AVEC LES ARTISTES :
Le mercredi 5 novembre après la représentation de 19h30
Résumé
Faisant fi du décorum, quatre comparses découvrent et bafouent le périmètre théâtral, non sans laisser parler leur crainte ou leur amusement, leur naturel clownesque ou leur négligence. Leur exploration devient tests en tous genres, au rythme de petits accidents ordinaires. Leur ridicule s’avère parfois fécond, leur maladresse croise la philosophie et cet échantillon d’humanité transforme graduellement l’espace vide en un univers de possibles. Sommes-nous vraiment le fruit de nos réflexions ? Ou plutôt celui d’une tempête de logiques collectives, émotives ?
Redoutable duo rompu à l’écriture de plateau, Alix Dufresne (Hidden Paradise) et Étienne Lepage (Trop humains) secouent ici les conventions sociales et théâtrales, tout en se jouant de la porosité entre la scène et la salle. De sa création au Festival TransAmériques à son accueil bienheureux au OFF Avignon, cette partition intempestive s’aventure aux limites des valeurs morales, en toute innocence.
DANS LES MÉDIAS
« Malaise dans la civilisation est une étrangeté incontestable. Les quatre personnages, qui sollicitent gentiment le public, sont des clowns à leur façon, sans nez rouge. Ils surprennent, font franchement rire, et c’est déjà beaucoup. » – L’Humanité
Biographies
Équipe
Cocréation de
Florence Blain Mbaye,
Maxime Genois,
Renaud Lacelle-Bourdon
et Alice Moreault
Scénographie et costumes
Odile Gamache
Lumières
Leticia Hamaoui
Musique
Robert Marcel Lepage
Direction technique, assistance à la conception d’éclairage et régie
Ariane Roy
Chargée de production
Mégane Trudeau
Dans les médias
Malaise dans la civilisation est une étrangeté incontestable. Les quatre personnages, qui sollicitent gentiment le public, sont des clowns à leur façon, sans nez rouge. Ils surprennent, font franchement rire, et c’est déjà beaucoup.
– Critique de Gérald Rossi, L’Humanité (2024)
Les comédiens sont hilarants et, de la salle à la scène, nous entraînent sur des curieux chemins...
– Critique de Télérama (2024)
L’absurdité de la réflexion et la satisfaction profonde de cette exploration performative de l’inconscient offre des scènes joyeusement délirantes. La salle rigole fort d’un rire qui lâche prise et qui fait du bien. [...] Malaise dans la civilisation est une ode joyeuse à la nature humaine.
– Critique de Pauline Crépin, Revue Pleins Feux (2024)
Alix Dufresne et Étienne Lepage troublent les codes sociétaux et théâtraux, jouent de façon subtile entre rire et malaise et orchestrent de manière incessante la surprise.
– Critique de Delphine Baffour, La Terrasse (2024)
au-delà des beaux malaises vécus sur scène et dans la salle, les artisan·es du spectacle nous font réfléchir au théâtre, à son fonctionnement, à ses possibilités esthétiques, à son avenir. À moins que ce ne soit à propos de la vie elle-même.
– Critique de Mario Cloutier, Jeu, revue de théâtre (2022)
Si notre impact sur le monde était moins grand, ce serait un peu moins grave qu’on soit aussi inconstants. Mais là, on dirait que ça fait de nous des mauvais gardiens, d’avoir autant de pouvoir et d’être aussi bébé.
– Étienne Lepage, en entrevue avec Marie Labrecque, Le Devoir (2022)
Espace Prof
Que ce soit pour la sortie d’un groupe d’élèves ou la sortie d’un niveau complet, le Théâtre peut recevoir jusqu’à 800 spectateurs par représentation, sauf dans de rares exceptions.