Avec
Rose-Anne Déry, Laetitia Isambert, Sarah Anne Parent, Clara Prévost, Dominique Quesnel et Mattis Savard-Verhoeven
Résumé
Dans une petite ville du Massachusetts, dans une Amérique en pleine guerre de Sécession, vivent les quatre sœurs March : Meg l’aînée romantique (Clara Prévost), Jo l’idéaliste et future romancière à l’esprit indépendant (Rose-Anne Déry), Beth la pianiste affectueuse (Sarah Anne Parent) et Amy la vaniteuse et déterminée (Laetitia Isambert) font l’apprentissage de la vie, découvrant ce qu’elle a à leur offrir… et ce qu’elles devront réclamer. Entre les vertus conservatrices et leurs envies de subversion, les quatre filles apprennent à créer elles-mêmes leur bonheur, à défendre leurs désirs et à survivre aux griffes de la désillusion. Avec leur ami Laurie (Mattis Savard-Verhoeven), elles traverseront le passage éprouvant entre l’adolescence et la vie adulte, sans jamais abandonner leurs espoirs entêtés.
Publiée en 1868, l’œuvre autobiographique de l’Américaine Louisa May Alcott, militante pour l’abrogation de l’esclavage, survit à toutes les époques. Depuis, la beauté comme les sacrifices de ces quatre jeunes femmes ont fait rêver chaque génération. J.K. Rowling, Simone de Beauvoir, Patti Smith, Fanny Britt, Elena Ferrante : nombreuses sont les écrivaines qui disent se retrouver dans cette brûlante chronique féministe.
Fine dialoguiste, l’autrice Julie-Anne Ranger-Beauregard (Les inconnus) adapte Les quatre filles du docteur March (Little Women), que Louis-Karl Tremblay (Les Coleman-Millaire-Fortin-Campbell) met en scène. Tous deux font front commun, guidés par leur passion à décrire les vibrants morceaux de jeunesse nés de ce drame romantique.
Rencontre du samedi : il y aura une rencontre avec les interprètes et l’équipe de production le samedi 26 mars après la représentation.
Biographies
Louisa May Alcott
Autrice
Julie-Anne Ranger-Beauregard
Texte
Louis-Karl Tremblay
Mise en scène
Rose-Anne Déry
Joséphine «Jo» March
Laetitia Isambert
Amy March
Sarah Anne Parent
Elizabeth « Beth » March
Clara Prévost
Margaret «Meg» March
Dominique Quesnel
La tante
Mattis Savard-Verhoeven
Théodore « Laurie » Laurence
Équipe
Assistance à la mise en scène et régie Alexandra Sutto
Scénographie
Karine Galarneau
Costumes
Linda Brunelle
Assistante aux costumes
Marie-Audrey Jacques
Éclairages
Robin Kittel-Ouimet
Conception sonore
Antoine Bédard
Accessoires
Angela Rassenti
Coiffures et maquillages
Justine Denoncourt
Mouvement
Marilyn Daoust
Stagiaire
Clara Prieur
Dans les médias
Avec leurs aspirations individuelles, leur quête identitaire, les héroïnes du classique connu sous le titre Les quatre filles du docteur March nous parlent encore
Marie Labrecque, Le Devoir
Cette production réchauffe le cœur dans ce printemps difficile. Elle nous rappelle que la musique, le théâtre, la peinture et l’écriture (les quatre passions des sœurs March) resteront toujours de formidables antidotes à la folie des hommes.
Stéphanie Morin, La Presse
La mise en scène fait rejaillir la lumière sur des femmes contemporaines malgré l’époque où elles sont plongées. Louis-Karl Tremblay nous donne envie de rêver, de nous évader et de croire en nos aspirations profondes, et ce, à travers ces quatre femmes exceptionnelles.
Edith Malo, Bible Urbaine
Dirigeant de main de maître son excellente distribution et faisant des choix judicieux et originaux tout autant qu’agréables pour les yeux, Louis-Karl Tremblay livre un spectacle d’une grande beauté et d’une efficacité redoutable.
Yanik Comeau, Théâtralités
Cette chronique sur les liens familiaux, la difficile émancipation féminine, la pauvreté, la construction du bonheur et le passage à l’âge adulte est portée avec grâce par quatre jeunes comédiennes au Théâtre Denise-Pelletier.
Emmanuel Martinez, Le journal de Montréal
Quatre filles réunit cinq comédiennes, appuyées de Mattis Savard-Verhoven, qui évoluent sur scène avec aisance et complicité.
Micheline Rouette, BP Arts médias
La distribution est parfaite. Les actrices et l’acteur sont magnifiques et justes.
Patricia Lamothe, Passion MTL
Julie-Anne Ranger-Beauregard était de passage à Tout un matin pour discuter de l'adaptation de l'œuvre culte « Little women » de Louisa May Alcott avec Eugénie Lépine-Blondeau.
Eugénie Lépine-Blondeau, Tout un matin
Ce qui est fascinant avec cette œuvre là, parce qu'elle est si bien adaptée sur scène, c'est qu'on est pas toujours la même sœur March
Vincent Bolbuc, Culture Club
Ce sont toutefois les filles March et leurs actrices qui mènent le bal de cette production. La raisonnable Meg (Clara Prévost ), la rebelle Jo (Rose-Anne Déry), la douce Beth ( Sarah Anne Parent, aussi pianiste et dont une très jolie scène au piano marque un des beaux moments du spectacle) et l’impulsive Amy (Laetitia Isambert) forment un quatuor tissé serré crédible, au sein duquel chaque fille a l’occasion de briller.
Daphné Bathalon, Théâtre.Québec
On se laisse emporter, on rit, on est touché par cette histoire de sororité dans une Amérique en pleine guerre de Sécession où les rêves et les ambitions de chacune s’entrechoquent et mènent à de beaux moments de solidarité comme à de déchirantes disputes.
Jules Couturier, Journal Metro
« Le spectacle est une adaptation libre de l’œuvre. Si le récit est fidèle à l’époque, le public sera plongé dans « un flou temporel, un hiver éternel ». « On veut mettre en lumière ce qui est similaire entre les États-Unis de 1860 et le Québec de 2022 : l’humain qui y vit », explique Julie-Anne Ranger-Beauregard.
Luc Boulanger, La Presse +
Espace Prof
Que ce soit pour la sortie d’un groupe d’élèves ou la sortie d’un niveau complet, le Théâtre peut recevoir jusqu’à 800 spectateurs par représentation, sauf dans de rares exceptions.