Les Plouffe
D’après l’œuvre de
ROGER LEMELIN
Adaptation théâtrale
ISABELLE HUBERT
Mise en scène
MARYSE LAPIERRE
Coproduction
THÉÂTRE DENISE-PELLETIER
et THÉÂTRE DU TRIDENT
Avec emprunts à l’œuvre cinématographique de ROGER LEMELIN et GILLES CARLE.
Avec l’aimable autorisation de leurs héritiers.

Avec
ÉDITH ARVISAIS,
MAXIME BEAUREGARD-MARTIN,
FRÉDÉRIQUE BRADET,
ROBIN-JOËL COOL,
VINCENT FAFARD,
JACQUES GIRARD,
JEAN-MICHEL GIROUARD,
ALEX GODBOUT,
MARIE-GINETTE GUAY,
RENAUD LACELLE-BOURDON,
Gaël Lane Lépine,
ROGER LÉGER,
ALICE MOREAULT,
et MARY-LEE PICKNELL
► Rencontre avec les artistes :
Le samedi 7 octobre après la représentation de 16h
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Résumé
1938, dans le quartier Saint-Sauveur, à Québec. Pendant que la Seconde Guerre se prépare sur le Vieux Continent, la famille Plouffe évolue au coeur des mutations nées de la Grande Dépression. Guillaume, le benjamin, rêve d’un avenir sportif glorieux. Ovide cherche sa route entre sa foi et son amour de l’opéra. Alors que Napoléon porte l’espoir comme un drapeau, Cécile, l’aînée, se meurt d’un amour impossible. Théophile, le père, combat l’hypocrisie, tandis que la mère, Joséphine, essaie tant bien que mal de préserver l’âme du nid familial. Autour d’eux, tout un essaim de personnages, dont l’alter ego de l’auteur, Denis Boucher, un jeune journaliste. La politique, le clergé, l’ignorance, le nationalisme et la solidarité, tout participe à l’émotion qui fait vivre et survivre les Plouffe.
Roger Lemelin est né à Québec. Alors qu’il est correspondant pour les magazines américains Time et Life, son roman Les Plouffe paraît en 1948. Au cours des années 50, ses personnages font l’objet d’un téléroman, le premier grand succès du petit écran québécois. Puis en 1980, le septième art s’en empare, sous la direction du cinéaste Gilles Carle. C’est maintenant au tour de la dramaturge Isabelle Hubert (La robe de Gulnara, 34B) d’adapter le roman, mais cette fois pour le théâtre, une première. La metteuse en scène Maryse Lapierre (Mme G., Les glaces) convoque 14 interprètes pour en faire revivre tous les lieux et y raconter une partie poignante de notre récit collectif.
Immense succès à sa création à l’hiver 2020 au Trident, dans la capitale où toutes ses figures ont germé, Les Plouffe s’ancre enfin dans la métropole.
© Marilyn Laflamme
LES PLOUFFE
LAURÉATE DE PLUSIEURS PRIX
Prix de l’Association québécoise des critiques de théâtre (AQCT) 2019-2020, section Québec
- Le Prix de la meilleure mise en scène, décerné à Maryse Lapierre.
Prix Théâtre 2019-2020 de la grande région de Québec, tous théâtres confondus.
- Le Prix de la meilleure mise en scène, décerné à Maryse Lapierre pour sa transposition ingénieuse et débordante d’humanité d’un classique qui nous a fait vivre des moments inspirants, drôles et magiques.
- Prix Janine-Angers saluant la performance exceptionnelle du comédien Jean-Michel Girouard pour son rôle de Napoléon Plouffe.
- Le Prix du Fonds du Théâtre du Vieux-Québec, attribué à Sébastien Dionne pour la conception des costumes, un travail colossal et impeccable pour lequel il a su donner à l’ensemble des tableaux une remarquable justesse, tant en regard de l’époque que des particularités des très nombreux personnages.
Biographies
Équipe
Assistance à la mise en scène et régie
ANDRÉE-ANNE GARNEAU
Assistance à la mise en scène à la création
GABRIELLE ARSENAULT
Scénographie
MARIE-RENÉE BOURGET HARVEY
Costumes
SÉBASTIEN DIONNE
Lumières
ANDRÉ RIOUX
Musique et environnement sonore
VIVIANE AUDET, ROBIN-JOËL COOL et ALEXIS MARTIN
Direction technique
Julie Touchette
Accessoires
ÉMILIE POTVIN
Assistance aux costumes
DOMINIQUE GIGUÈRE
Maquillages
MARJORIE HARDY
Coiffures
FLORIAN VAN WAMBEKE
Construction du décor
Alain Gagné
Dans les médias
Tout dans Les Plouffe semble rodé au quart de tour. Les acteurs sont formidables, la scénographie est impressionnante et la mise en scène est impeccable.
Critique de Anne-Josée Cameron, Radio Canada
Les Plouffe demeurent captivants : on se reconnaît en eux, on rit et on s’émeut en leur compagnie…
Critique de Simon Lambert, Le Devoir
Magistral portrait d’époque […] Toute la distribution est remarquable de justesse, offrant des tableaux d’une prégnance inouïe.
Critique de Alain-Martin Richard, JEU revue de théâtre
Du pur bonheur.
Critique de Yves Leclerc, Le Journal de Québec
Espace Prof
Que ce soit pour la sortie d’un groupe d’élèves ou la sortie d’un niveau complet, le Théâtre peut recevoir jusqu’à 800 spectateurs par représentation, sauf dans de rares exceptions.